L’acte modificateur unique soumis en votation le 9 juin est le produit d’une écologie superficielle qui sacrifie l’essentiel, la nature, sur l’autel d’une hystérie électrique. Nous ne voulons pas d’une écologie contre la nature.
Le Parlement a piétiné la protection de la nature pendant la session d’automne, violé notre Constitution et bafoué en toute illégalité la participation démocratique du peuple avec une insouciance effrayante et une rapidité sans précédent.